Assemblée générale ordinaire (AGO) : tout ce que vous devez savoir pour bien la réussir !

Imaginez une réunion où les destinées d’une société se jouent chaque année : l’assemblée générale ordinaire (AGO). Un moment stratégique où se prennent des décisions cruciales, telles que l’approbation des comptes annuels, l’affectation du résultat ou même la nomination de nouveaux dirigeants. 

Mais comment organiser une AGO de manière fluide et conforme aux règles ? Qui peut convoquer cette réunion essentielle ? Et quels sont les délais et les décisions à prendre pour garantir une gestion transparente et efficace de l’entreprise ? 

Cet article vous dévoile toutes les clés pour comprendre les enjeux de l’AGO et réussir à la mettre en place en toute sérénité. De la convocation à la validation des comptes, préparez-vous à maîtriser chaque étape d’une assemblée générale ordinaire, de la convocation à la rédaction du procès-verbal.

Qu'est-ce qu'une assemblée générale ordinaire ?

L’assemblée générale ordinaire (AGO) est un moment clé dans la vie d’une société. Chaque année, elle réunit les associés ou actionnaires pour valider les décisions stratégiques, notamment l’approbation des comptes annuels et l’affectation du résultat. C’est aussi l’occasion de nommer de nouveaux dirigeants ou un commissaire aux comptes, si nécessaire.

Un cadre légal précis

L’AGO est une obligation légale définie par le Code de commerce et les statuts de la société. Elle doit être organisée dans les six mois suivant la clôture de l’exercice comptable. Son ordre du jour inclut généralement la validation des comptes, la gestion de la société et d’autres points essentiels à son bon fonctionnement.

Des règles de convocation et de vote

La réunion se tient au siège social ou dans tout autre lieu prévu par les statuts. Les associés ou actionnaires sont convoqués par le dirigeant selon un délai de convocation fixé par la loi. Pour que l’AGO puisse valablement délibérer, un quorum doit être atteint. Les décisions sont généralement prises à la majorité simple, sauf dispositions contraires.

Un suivi structuré et obligatoire

À l’issue de l’assemblée, un procès-verbal est rédigé pour officialiser les décisions votées. Ce document garantit la transparence et la traçabilité des échanges, tout en assurant la sécurisation juridique des décisions prises.

L’AGO est donc bien plus qu’une formalité : elle est essentielle pour assurer une gestion fluide et maîtrisée de la société.

Comment organiser une assemblée générale ?

Organiser une assemblée générale, qu’elle soit ordinaire ou extraordinaire, est une étape essentielle pour garantir le bon fonctionnement de la société. Cela nécessite une préparation minutieuse pour respecter les obligations légales et offrir une réunion fluide et efficace à tous les participants. Voici les principales étapes à suivre pour organiser votre assemblée générale dans les meilleures conditions.

1. Définir l'ordre du jour

L’ordre du jour est la première étape pour une organisation réussie. Il doit être précis et inclure tous les points à discuter, comme l’approbation des comptes, la gestion de la société, et éventuellement la nomination des dirigeants ou des commissaires aux comptes. Vous devez veiller à ce que tous les sujets abordés respectent les statuts de la société.

2. La convocation des associés

Une fois l’ordre du jour défini, il faut envoyer la convocation aux actionnaires ou associés. Cette étape est cruciale car elle doit respecter un délai légal de convocation (généralement 15 jours avant la date prévue pour l’assemblée). La convocation peut être envoyée par lettre recommandée ou par consultation écrite, selon les pratiques de la société. N’oubliez pas d’y inclure tous les documents nécessaires pour la bonne préparation de la réunion, tels que le rapport de gestion, les comptes annuels, ou tout autre document pertinent.

3. Choisir un lieu et une date

Le lieu de l’assemblée doit être choisi en fonction des statuts de la société, généralement au siège social ou dans un autre endroit convenu. La date doit être fixée en respectant le délai imposé par la loi (souvent avant la fin de l’exercice comptable). Il est important de prévoir un horaire adapté pour que tous les membres puissent y assister.

4. Vérifier le quorum et la majorité

Le jour de l’assemblée, vous devrez vérifier si le quorum est atteint pour que les décisions prises soient valables. Cela dépendra des statuts et du type d’assemblée (ordinaire ou extraordinaire). En général, pour l’AGO, il faudra que la majorité des actionnaires ou associés soient présents ou représentés. Ensuite, les résolutions seront votées à la majorité simple ou, dans certains cas, à la majorité absolue, selon les règles définies dans les statuts.

5. Rédiger le procès-verbal

Une fois l’assemblée terminée, il est impératif de rédiger un procès-verbal récapitulant toutes les décisions prises. Ce document officiel sera signé par le président de séance et servira de preuve des délibérations lors de toute consultation future, que ce soit pour des audits ou pour toute procédure juridique.

Quelles décisions sont prises lors de l'AGO ?

Chaque année, les actionnaires ou associés se réunissent pour valider les choix stratégiques et approuver des éléments financiers essentiels. Voici un aperçu des principales décisions prises lors de l’AGO.

L'approbation des comptes annuels

L’un des rôles principaux de l’AGO est l’approbation des comptes annuels. Les associés ou actionnaires examinent les résultats financiers de l’entreprise pour l’exercice écoulé, puis votent pour approuver les comptes et le rapport de gestion du dirigeant. Ce processus permet de valider la transparence financière de la société et de garantir la conformité aux normes comptables.

L'affectation du résultat

Après l’approbation des comptes, l’assemblée décide de l’affectation du résultat. Selon les statuts et les décisions des membres, le bénéfice net peut être distribué sous forme de dividendes ou affecté à la réserve de l’entreprise. En cas de pertes, l’assemblée peut également décider de leur couverture en puisant dans les réserves ou de reporter les pertes à l’exercice suivant.

La nomination ou le renouvellement des dirigeants

L’AGO peut être l’occasion de renouveler ou de nommer de nouveaux dirigeants (président, gérant, directeur général, etc.). Si les mandats des dirigeants arrivent à expiration, une nouvelle nomination est nécessaire pour garantir une continuité dans la gestion de l’entreprise. Cela peut aussi inclure la désignation ou le renouvellement des commissaires aux comptes.

L'approbation des conventions et des rapports

Les conventions régissant les relations entre l’entreprise et ses dirigeants ou ses associés sont soumises à l’approbation des membres. De plus, l’assemblée peut examiner des rapports sur des questions spécifiques comme la gestion, la situation sociale, ou des projets de développement, pour garantir une bonne gouvernance.

L'approbation des investissements ou projets importants

Dans certains cas, l’AGO peut également être amenée à approuver des investissements importants, des projets stratégiques ou des changements significatifs dans la direction de l’entreprise. Ces décisions doivent être votées par la majorité des actionnaires ou associés présents lors de la réunion.

La modification des statuts

Lors de l’AGO, des modifications des statuts de la société peuvent être proposées, notamment si l’entreprise souhaite changer son capital social, son objet social, ou toute autre règle de gouvernance. Bien que ces décisions peuvent aussi être prises lors d’une assemblée générale extraordinaire, certaines modifications peuvent être validées au cours de l’AGO, en fonction des statuts.

Les décisions prises lors de l’AGO ont un impact direct sur la gestion et la direction de la société. Elles permettent d’assurer une transparence et une bonne gouvernance, tout en garantissant que l’entreprise reste en conformité avec la loi et les attentes des actionnaires.

Quelle est la différence entre AGO et AGE ?

Les assemblées générales ordinaires (AGO) et les assemblées générales extraordinaires (AGE) sont deux types de réunions importantes pour la gestion des sociétés, mais elles ont des objectifs, des modalités et des règles distincts. Voici les principales différences entre ces deux types d’assemblées.

Objectifs et décisions prises

L’AGO est une réunion annuelle qui permet de prendre des décisions récurrentes et courantes concernant la gestion de la société. Les décisions typiques prises lors d’une AGO sont l’approbation des comptes annuels, l’affectation des résultats, la nomination ou le renouvellement des dirigeants et des commissaires aux comptes, ainsi que le rapport de gestion. L’AGO traite de sujets réguliers qui ne nécessitent pas de modification substantielle des statuts de la société.

L’AGE, quant à elle, est une réunion qui se tient de manière exceptionnelle. Elle permet de prendre des décisions importantes et parfois extraordinaires, telles que la modification des statuts, l’augmentation ou réduction du capital social, le changement d’objet social, la fusion, la scission, ou encore l’entrée dans un nouveau type de société. Les décisions prises en AGE portent sur des changements majeurs dans la structure ou la gouvernance de l’entreprise.

Fréquence et convocation

L’AGO est annuelle et doit être tenue tous les ans, généralement dans un délai de six mois suivant la clôture de l’exercice comptable. Elle est obligatoire, conformément à la loi, et sa convocation doit respecter un délai légal de 15 jours avant la date de l’assemblée.

L’AGE, contrairement à l’AGO, n’a pas de fréquence régulière. Elle est convoquée lorsqu’il y a besoin de traiter des sujets exceptionnels ou de prendre des décisions qui ne peuvent être abordées lors d’une AGO. Sa convocation doit aussi respecter un délai légal de convocation, mais elle peut se tenir à tout moment, selon les nécessités de la société.

Majorité et quorum

Les décisions de l’AGO sont généralement prises à la majorité simple, ce qui signifie qu’une majorité des voix présentes ou représentées suffit pour valider les décisions, à moins que les statuts ne prévoient des règles plus strictes. Le quorum pour valider l’AGO est souvent plus souple que pour l’AGE.

Pour l’AGE, les décisions nécessitent souvent une majorité qualifiée (par exemple, la majorité absolue ou une majorité des 2/3 des voix) en raison de l’importance des changements traités. Le quorum nécessaire pour une AGE peut être plus élevé, et les conditions de vote sont souvent plus strictes, selon les enjeux discutés.

Type de modifications possibles

Lors de l’AGO, les modifications sont généralement limitées aux aspects de gestion courante, comme la gestion des comptes, des dividendes, et des nominations. Elle ne permet pas de toucher aux fondamentaux de la société ou à sa structure juridique.

L’AGE permet de modifier les statuts de manière plus substantielle. Elle intervient pour des décisions qui affectent profondément la société, comme un changement dans l’organisation, les structures capitalistiques, ou l’activité de l’entreprise.

Rôle dans la gouvernance de la société

L’AGO est un moment crucial pour assurer une gouvernance transparente et garantir la conformité de la gestion à travers l’approbation des comptes et la gestion de la société au jour le jour.

L’AGE est utilisée pour prendre des décisions qui impactent la structure ou le fonctionnement à long terme de l’entreprise. Elle a un rôle moins fréquent, mais plus stratégique dans l’évolution de la société.

Quels sont les délais pour l'assemblée générale ?

Les délais relatifs à la convocation et à la tenue de l’assemblée générale (AG) sont strictement encadrés par la loi pour garantir que toutes les parties prenantes (actionnaires, associés) soient informées à temps et puissent participer aux décisions. Voici les principaux délais à respecter pour organiser une assemblée générale ordinaire (AGO) ou une assemblée générale extraordinaire (AGE).

Délai de convocation :

  • AGO : Pour une assemblée générale ordinaire, la convocation doit être envoyée au moins 15 jours avant la date de la réunion. Cela permet aux actionnaires ou associés d’avoir le temps de prendre connaissance des documents importants, comme les comptes annuels et le rapport de gestion.
  • AGE : Pour une assemblée générale extraordinaire, le délai de convocation est également de 15 jours avant la réunion. Toutefois, ce type d’assemblée étant souvent convoqué pour des décisions importantes (modification des statuts, augmentation du capital, etc.), le contenu de la convocation doit être particulièrement précis et détaillé, indiquant clairement les résolutions qui seront soumises au vote.

Délai pour la tenue de l'AGO :

L’assemblée générale ordinaire doit obligatoirement se tenir dans les six mois suivant la clôture de l’exercice comptable. Par exemple, si l’exercice se termine le 31 décembre, l’AGO doit se tenir avant le 30 juin de l’année suivante.

Délai pour la rédaction du procès-verbal :

Après chaque AG, qu’il s’agisse d’une AGO ou d’une AGE, un procès-verbal doit être rédigé. Ce document officiel doit être signé par le président de séance et contient un résumé des décisions prises. Le procès-verbal doit être rédigé dans un délai raisonnable après l’assemblée, souvent dans les 10 jours suivant la réunion.

Délai de dépôt des résolutions :

Pour certaines décisions, comme la modification des statuts ou l’augmentation de capital, un dépôt au greffe du tribunal de commerce peut être nécessaire, notamment pour des changements qui concernent la forme sociale ou l’objet social. Le dépôt des résolutions doit généralement être effectué dans les 15 jours après l’assemblée.

Délai pour l’envoi des documents préparatoires :

Avant la réunion, la société doit transmettre aux actionnaires ou associés tous les documents nécessaires à leur prise de décision (rapports financiers, projets de résolutions, etc.). Ces documents doivent être envoyés suffisamment à l’avance, généralement 15 jours avant l’assemblée.

En résumé :

  • Convocation AGO / AGE : 15 jours avant la réunion.
  • Tenue de l’AGO : dans les six mois suivant la clôture de l’exercice comptable.
  • Rédaction du procès-verbal : dans les 10 jours suivant l’assemblée.
  • Dépôt des résolutions au greffe : dans les 15 jours après l’assemblée.

Comment valider les comptes lors de l'AGO ?

La validation des comptes annuels lors de l’Assemblée Générale Ordinaire (AGO) est une étape cruciale pour la gestion d’une société. Elle permet de s’assurer que les états financiers reflètent correctement la situation de l’entreprise et qu’ils respectent les normes comptables en vigueur. Voici les principales étapes pour valider les comptes lors d’une AGO.

1. Préparation des comptes annuels

Avant la tenue de l’assemblée, les comptes annuels (bilan, compte de résultat et annexe) doivent être préparés par la direction de la société, généralement avec l’aide d’un expert-comptable ou d’un comptable interne. Ces comptes doivent refléter l’ensemble des opérations de l’exercice comptable écoulé et être conformes aux normes comptables en vigueur (Plan Comptable Général, normes IFRS, etc.).

2. Rapport de gestion et rapport du commissaire aux comptes

Le rapport de gestion doit être présenté aux actionnaires ou associés avant l’AGO. Ce document explique les grandes orientations et décisions prises par la direction de la société durant l’exercice, ainsi que les résultats obtenus.
Si la société est soumise à un commissaire aux comptes, celui-ci devra également remettre un rapport sur les comptes. Ce rapport atteste de la régularité et de la sincérité des comptes. La présence d’un commissaire aux comptes est obligatoire dans certaines situations (par exemple, pour les sociétés anonymes ou certaines sociétés à responsabilité limitée dépassant certains seuils).

3. Convocation à l'AGO et mise à disposition des documents

Les actionnaires ou associés doivent être convocqués à l’AGO au moins 15 jours avant la date de la réunion. Ils doivent également recevoir tous les documents nécessaires à la validation des comptes, comme les comptes annuels, le rapport de gestion, et le rapport du commissaire aux comptes (si applicable). Ces documents doivent être mis à leur disposition pour qu’ils puissent les étudier en toute connaissance de cause.

4. Délibération en assemblée

Lors de l’assemblée, le président ou le dirigeant présente les comptes annuels, le rapport de gestion et le rapport du commissaire aux comptes. Les actionnaires ou associés peuvent poser des questions sur la gestion et les résultats de l’exercice. À l’issue de cette présentation, une résolution est soumise au vote pour approuver ou rejeter les comptes.

5. Approbation des comptes

  • Vote : La résolution pour l’approbation des comptes est votée par les actionnaires ou associés présents ou représentés.
  • Majorité : Les comptes sont validés à la majorité simple (majorité des voix des présents ou représentés), sauf disposition contraire dans les statuts de la société. Si le quorum (le nombre minimal de personnes nécessaires pour que l’assemblée soit valide) est atteint, la décision est prise.

6. Affectation du résultat

Une fois les comptes approuvés, l’assemblée doit décider de l’affectation du résultat. Cela inclut la répartition des bénéfices (distribution de dividendes, mise en réserve, etc.).
Cette décision fait également l’objet d’une résolution qui est soumise au vote des actionnaires ou associés.

7. Formalités post-assemblée

Après l’assemblée, un procès-verbal (PV) est rédigé pour consigner les décisions prises, y compris l’approbation des comptes et l’affectation du résultat. Ce PV doit être signé par le président de séance et les autres personnes habilitées. Le cas échéant, le rapport du commissaire aux comptes et les décisions doivent être déposés auprès du greffe du tribunal de commerce.

Qui peut convoquer une assemblée générale ?

Selon la forme juridique de l’entreprise et les règles internes prévues par les statuts, plusieurs acteurs peuvent être habilités à convoquer une assemblée générale. Voici un tour d’horizon des principaux cas de figure.

Le dirigeant de la société

Dans la grande majorité des cas, c’est le dirigeant de la société qui a la responsabilité de convoquer l’assemblée générale. Cela inclut :

  • Le président d’une SAS ou SASU.
  • Le gérant d’une SARL ou d’une EURL.
  • Le directeur général d’une SA ou d’une SAS, en fonction des statuts.
  • Le comité de direction, dans certaines sociétés de taille importante.

Le dirigeant convoque généralement l’assemblée pour présenter les comptes annuels, approuver les résolutions, ou pour d’autres sujets nécessitant l’avis des actionnaires ou des associés.

Les actionnaires ou associés (dans certaines conditions)

Dans certains cas, la convocation peut être demandée par les actionnaires ou associés eux-mêmes :

  • Si les statuts de la société prévoient cette possibilité.
  • Si un certain quorum (un nombre minimum d’actions ou de parts détenues) est atteint, permettant à ces derniers de convoquer l’assemblée.
  • En cas de délai dépassé par le dirigeant pour convoquer l’assemblée (ex : la tenue d’une AGO dans les six mois suivant la clôture de l’exercice comptable), un ou plusieurs actionnaires peuvent demander une convocation en se basant sur leur droit de demander une assemblée.

Dans ce cas, une demande formelle (souvent par lettre recommandée avec accusé de réception) est faite par les actionnaires ou associés. Si la demande est légitime, le dirigeant devra convoquer l’assemblée.

Le commissaire aux comptes

Si la société en dispose, le commissaire aux comptes peut être amené à convoquer une assemblée générale, notamment si la société omet de le faire. Le commissaire aux comptes peut aussi convoquer une assemblée pour présenter ses rapports sur les comptes de l’exercice écoulé ou dans des situations de désaccord avec la direction.

Les statuts de la société

Les statuts de la société peuvent définir des règles spécifiques sur la convocation des assemblées. Par exemple, ils peuvent prévoir :

  • Des règles de convocation supplémentaires en fonction du type de société (SARL, SAS, SA, etc.).
  • La possibilité pour certains organes internes (comme le conseil d’administration dans une SA) ou même pour certains actionnaires/associés de convoquer l’assemblée en cas de besoin.

Les conditions exceptionnelles :

Si la société est en difficulté financière, un tribunal de commerce peut, dans certains cas, ordonner la convocation d’une assemblée générale, notamment pour examiner la situation économique et financière de l’entreprise ou statuer sur des mesures urgentes.